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  Jean Paul II  a marqué au fer rouge et l'Eglise et le monde pendant plus d'un quart de siècle. Il n'a cessé de nous étonner. De nous émerveiller surtout. Comme nous l'avons aimé !

        J'ai vécu un tiers de la phase terrestre de mon existence au jour le jour avec lui. Je n'ai cessé de me nourrir des innombrables textes, dont j'ai lu la majeure partie, de ce véritable docteur de l'Eglise.

        Au cours de mes 30 années de " tournées missionnaires" dans plus de 40 pays, j'ai eu la joie de retransmettre à des foules au cours d'innombrables rencontres (de parents et d'éducateurs, de prêtres et de séminaristes, d'étudiants et de lycéens surtout) l'essentiel de sa pensée.

        Ses actions ont stimulé la mienne, sa parole a fécondé la mienne. J'ai vibré intensément à tout ce qu'il disait, enseignait, clamait, avec tant de force. Ma prière n'a cessé de s'unir plus profondément à la sienne. Il a été et demeure mon maître. Il a été et demeure mon père dans l'Esprit. J'ose parler d'une véritable communion d'âme et de cœur, d'une vivante filiation. Oui, que de connivences secrètes !

         Ayant eu cette double grâce, d'un côté  de lire presque tout de lui et sur lui, et de l'autre de fréquenter certains de ses amis intimes, je tiens à la partager pour la joie d'un grand nombre. Pour les jeunes qui ne lisent plus, les personnes sur-occupées qui n'en n'ont plus le temps,  pour les personnes fatiguées et âgées, pour les malades, ce petit recueil sera plus facile à lire que les longues citations, et surtout les textes complets aussi nourrissants et enthousiasmants soient-ils

        C'est à eux particulièrement que je veux offrir ces gerbes d'épis glanés, au long des jours et des nuits.

        J'ai donc cueilli ces petites fleurs, le long des sentiers de ce monde qu'il a inlassablement parcourus en tout sens. Et ici, j'en offre quelques uns. Tel un bouquet de fleurs parfumées, chacune sa saveur et ses teintes propres. Dans la grisaille du quotidien, elles pourront glisser un sourire, une clarté.

        La banderole qui paraît sur la dernière image de la vidéo officielle des JMJ de Paris - celle de notre école Jeunesse-Lumière - l'exprime d'un mot : " Jean-Paul II, merci d'être un père pour nous ! Ce père que tant d'entre nous n'ont jamais connu. Un père qui soit vraiment le reflet, mieux : l'icône vivante, j'oserais même dire, le "sacrement" - le signe visible- du Père invisible du Ciel, tout comme saint Joseph l'a été pour e jeune Jésus.(...)

           J'affirme sans la moindre hésitation, que Jean-Paul II est pour moi l'un des plus grands génies humains de tous les temps, et l'un des plus grands saints de toute l'histoire de l'Eglise, et parmi les papes, l'un des plus grands.

       Dans son extraordinaire homélie pour la consécration de la basilique de la Miséricorde à Wagievniki, le 18 août 2002, il a osé citer le Seigneur confiant à sainte Faustina Kowalska : "  Jaime particulièrement la Pologne, et si elle obéit à ma volonté, je l'élèverai en puissance et en sainteté. D'elle sortira  l'étincelle qui préparera le monde à mon ultime venue."'  Pour moi, cette étincelle, c'est le petit Karol-Lolek de Wadowice.

        Cette étincelle, il l'a été. Ce feu, il l'a allumé. Parce que d'abord, il s'en est laissé brûler. Nous laisserons-nous, à son contact, brûler à notre tour ?

                                                                                   Daniel-Ange

 

Nous laisserons-nous, à son contact, brûler à notre tour ?

  Jean Paul II  a marqué au fer rouge et l'Eglise et le monde pendant plus d'un quart de siècle. Il n'a cessé de nous étonner. De nous émerveiller surtout. Comme nous l'avons aimé !

        J'ai vécu un tiers de la phase terrestre de mon existence au jour le jour avec lui. Je n'ai cessé de me nourrir des innombrables textes, dont j'ai lu la majeure partie, de ce véritable docteur de l'Eglise.

        Au cours de mes 30 années de " tournées missionnaires" dans plus de 40 pays, j'ai eu la joie de retransmettre à des foules au cours d'innombrables rencontres (de parents et d'éducateurs, de prêtres et de séminaristes, d'étudiants et de lycéens surtout) l'essentiel de sa pensée.

        Ses actions ont stimulé la mienne, sa parole a fécondé la mienne. J'ai vibré intensément à tout ce qu'il disait, enseignait, clamait, avec tant de force. Ma prière n'a cessé de s'unir plus profondément à la sienne. Il a été et demeure mon maître. Il a été et demeure mon père dans l'Esprit. J'ose parler d'une véritable communion d'âme et de cœur, d'une vivante filiation. Oui, que de connivences secrètes !

         Ayant eu cette double grâce, d'un côté  de lire presque tout de lui et sur lui, et de l'autre de fréquenter certains de ses amis intimes, je tiens à la partager pour la joie d'un grand nombre. Pour les jeunes qui ne lisent plus, les personnes sur-occupées qui n'en n'ont plus le temps,  pour les personnes fatiguées et âgées, pour les malades, ce petit recueil sera plus facile à lire que les longues citations, et surtout les textes complets aussi nourrissants et enthousiasmants soient-ils

        C'est à eux particulièrement que je veux offrir ces gerbes d'épis glanés, au long des jours et des nuits.

        J'ai donc cueilli ces petites fleurs, le long des sentiers de ce monde qu'il a inlassablement parcourus en tout sens. Et ici, j'en offre quelques uns. Tel un bouquet de fleurs parfumées, chacune sa saveur et ses teintes propres. Dans la grisaille du quotidien, elles pourront glisser un sourire, une clarté.

        La banderole qui paraît sur la dernière image de la vidéo officielle des JMJ de Paris - celle de notre école Jeunesse-Lumière - l'exprime d'un mot : " Jean-Paul II, merci d'être un père pour nous ! Ce père que tant d'entre nous n'ont jamais connu. Un père qui soit vraiment le reflet, mieux : l'icône vivante, j'oserais même dire, le "sacrement" - le signe visible- du Père invisible du Ciel, tout comme saint Joseph l'a été pour e jeune Jésus.(...)

           J'affirme sans la moindre hésitation, que Jean-Paul II est pour moi l'un des plus grands génies humains de tous les temps, et l'un des plus grands saints de toute l'histoire de l'Eglise, et parmi les papes, l'un des plus grands.

       Dans son extraordinaire homélie pour la consécration de la basilique de la Miséricorde à Wagievniki, le 18 août 2002, il a osé citer le Seigneur confiant à sainte Faustina Kowalska : "  Jaime particulièrement la Pologne, et si elle obéit à ma volonté, je l'élèverai en puissance et en sainteté. D'elle sortira  l'étincelle qui préparera le monde à mon ultime venue."'  Pour moi, cette étincelle, c'est le petit Karol-Lolek de Wadowice.

        Cette étincelle, il l'a été. Ce feu, il l'a allumé. Parce que d'abord, il s'en est laissé brûler. Nous laisserons-nous, à son contact, brûler à notre tour ?

                                                                                   Daniel-Ange

 

Nous laisserons-nous, à son contact, brûler à notre tour ?

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