
"Troubadour sérieux, tu es vraiment un ami familier de cette audacieuse...
Le Renouveau a besoin de grands maîtres spirituels. Thérèse en est un, des plus grands. Je souhaite que grâce à ta profonde inititation - qui va au coeur de l'essentiel - beaucoup lisent Thérèse elle-même et y puisent cette sagesse suprême des enfants qui se savent aimés, sauvés sans aucun mérite de leur part, y apprennent à " chanter sans cesse les miséricordes du Seigneur", à prier en osant dire : " Abba ! Papa !", à donner leur vie pour leurs frères."
C'est une grande joie de constater que, par-delà les différences de langage et d'époque, Thérèse parle aujourd'hui à toute une génération d'enfants perdus, tous ces paumés que tu aimes particulièrement, dont tu te sens frères, et que - d'une manière ou d'une autre, nous sommes tous.
Cher Daniel-Ange, je ne peux douter que Thérèse bénisse ton travail, elle qui écrivait à son frère spirituel, l'abbé Rolland :
" Au ciel, je pourrai le faire aimer d'une multitude d'âmes qui le béniront éternellement."
Guy Gaucher
Orléans, 1977
"Troubadour sérieux, tu es vraiment un ami familier de cette audacieuse...
Le Renouveau a besoin de grands maîtres spirituels. Thérèse en est un, des plus grands. Je souhaite que grâce à ta profonde inititation - qui va au coeur de l'essentiel - beaucoup lisent Thérèse elle-même et y puisent cette sagesse suprême des enfants qui se savent aimés, sauvés sans aucun mérite de leur part, y apprennent à " chanter sans cesse les miséricordes du Seigneur", à prier en osant dire : " Abba ! Papa !", à donner leur vie pour leurs frères."
C'est une grande joie de constater que, par-delà les différences de langage et d'époque, Thérèse parle aujourd'hui à toute une génération d'enfants perdus, tous ces paumés que tu aimes particulièrement, dont tu te sens frères, et que - d'une manière ou d'une autre, nous sommes tous.
Cher Daniel-Ange, je ne peux douter que Thérèse bénisse ton travail, elle qui écrivait à son frère spirituel, l'abbé Rolland :
" Au ciel, je pourrai le faire aimer d'une multitude d'âmes qui le béniront éternellement."
Guy Gaucher
Orléans, 1977
